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Guy Chabridon, né à Ruffec en juin 1914, est déporté le 27 janvier 1944. Il porte le numéro 43520. De retour en France, au passage de la frontière, et après un premier interrogatoire par la police militaire, il a reçu une carte de rapatrié. Celle-ci lui donnera droit à des vêtements, des chaussures, un viatique, quand il rentrera chez lui (Gentilly).
Guy Chabridon, né à Ruffec en juin 1914, est déporté le 27 janvier 1944. Il porte le numéro 43520. De retour en France, au passage de la frontière, et après un premier interrogatoire par la police militaire, il a reçu une carte de rapatrié. Celle-ci lui donnera droit à des vêtements, des chaussures, un viatique, quand il rentrera chez lui (Gentilly).

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Dès la Libération du camp, les militants communistes français déportés vont éditer quelques numéros d'une "Humanité de Buchenwald", en référence au grand quotidien communiste. L'association dispose d'une collection de ces numéros dont quelques exemplaires ont été illustré à l'aquarelle par Boris Taslitsky.
Dès la Libération du camp, les militants communistes français déportés vont éditer quelques numéros d’une « Humanité de Buchenwald », en référence au grand quotidien communiste. L’association dispose d’une collection de ces numéros dont quelques exemplaires ont été illustré à l’aquarelle par Boris Taslitsky.

 

 

Pour l'armée allemande, le camp de Compiègne, où sont regroupées les personnes (45 000, uniquement non juives à partir de 1942) destinées généralement à être déportées vers les camps de concentration allemands, est le Frontstalag 122. La plupart des Déportés à Buchenwald ou Dora sont passés par Compiègne. Un Mémorial y a été inauguré en 2008.
Pour l’armée allemande, le camp de Compiègne, où sont regroupées les personnes (45 000, uniquement non juives à partir de 1942) destinées généralement à être déportées vers les camps de concentration allemands, est le Frontstalag 122. La plupart des Déportés à Buchenwald ou Dora sont passés par Compiègne. Un Mémorial y a été inauguré en 2008.

Roger Perret, né à Elbeuf en novembre 1920, arrive à Buchenwald le 22 août 1944, par l'un des derniers convois parti de Compiègne-Rethondes (à l'extérieur du camp), le 17 août. Lors de son transfert de la prison de Fresnes vers Compiègne il parvient à écrire et faire tomber un mot sur la route.
Roger Perret, né à Elbeuf en novembre 1920, arrive à Buchenwald le 22 août 1944, par l’un des derniers convois parti de Compiègne-Rethondes (à l’extérieur du camp), le 17 août. Lors de son transfert de la prison de Fresnes vers Compiègne il parvient à écrire et faire tomber un mot sur la route.

La grande majorité des Déportés est arrivée à Buchenwald par train : les convois. La liste des personnes arrivées (décédées pendant le transport et vivantes) était établie par le service "politische abteilung" du Camp. L'association possède la liste de tous les convois.
La grande majorité des Déportés est arrivée à Buchenwald par train : les convois. La liste des personnes arrivées (décédées pendant le transport et vivantes) était établie par le service « politische abteilung » du Camp. L’association possède la liste de tous les convois.

Du courrier et des colis ont pu, un moment, parvenir à Buchenwald par l'intermédiaire de la Croix Rouge. Après avoir subi de larges prélèvements par les SS, les colis étaient remis aux Déportés, qui, le plus souvent, se partageaient le contenu restant.
Du courrier et des colis ont pu, un moment, parvenir à Buchenwald par l’intermédiaire de la Croix Rouge. Après avoir subi de larges prélèvements par les SS, les colis étaient remis aux Déportés, qui, le plus souvent, se partageaient le contenu restant.

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